Publié sur le site du quotidien PARIS TURF- 5 avril 2020

 

De son côté, Hubert Tassin, le président des PP, est catégorique : « Je suis, comme beaucoup d’associations de socioprofessionnels, opposé à une baisse significative des allocations. Il faut faire preuve de solidarité, mais il ne faut pas tuer la filière. On ne peut cautionner la reprise des courses à tout prix pour maintenir les préparatoires aux classiques en ne respectant pas les équilibres qui sont à la base de nos programmes. »

André Hamot, représentant des PP, dans le Sud-Est, prévient : « Avec des allocations normales, tous les propriétaires remettent de l’argent de leur poche. Alors, si on les baisse, je ferai comme beaucoup de petits propriétaires, j’arrêterai d’acheter et même d’avoir des chevaux, ce qui est pourtant ma passion. »